Femme en bleu lisant une lettre

« Femme en bleu lisant une lettre », peinte par Johannes Vermeer vers 1662-1665, est une huile sur toile de 46,5 x 39, aujourd’hui conservée au Rijksmuseum à Amsterdam.

Sa copie sera exécutée en tenant compte des résultats de recherches sur les œuvres de Vermeer, entre autres ceux de l’examen technique réalisé sur La Jeune Fille à la perle dans le cadre du projet de recherche « The Girl in the Spotlight », mené par l’Institut des Pays-Bas pour la conservation, l’art et les sciences.

Le dessin préparatoire est réalisé en terre d’ombre et noir d’ivoire sur un châssis entoilé de lin extra fin de qualité professionnelle, format 46 x 38.

Le tableau sera commencé en grisaille, et peint dans différentes concentrations d’huile de noix cuite au fur et à mesure du travail.

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La Jeune Fille à la perle

Cette copie de La Jeune fille à la perle d’après Johannes Vermeer sera exécutée en tenant compte des résultats de l’examen technique réalisé sur l’œuvre dans le cadre du projet de recherche « The Girl in the Spotlight », mené par l’Institut des Pays-Bas pour la conservation, l’art et les sciences, et disponible dans une collection spéciale d’articles des sciences du patrimoine.

Ces résultats offrent au peintre pour reproduire l’œuvre originale des informations précieuses sur les matériaux et les techniques utilisées par Vermeer, et sur les étapes qu’il a suivies.

Le tableau est exécuté sur une toile extra- fine sur châssis, aux dimensions de l’original, 45 x 39. Vous pourrez suivre dans cet article ses différentes étapes.

Portrait de Maria Portinari

Le portrait de Maria Portinari est la partie droite d’un triptyque religieux, de Hans Memling, dont le panneau central perdu représentait une Vierge à l’Enfant et le panneau gauche celui de son époux Tommaso Portinari, commanditaire de l’œuvre. Les deux portraits sont aujourd’hui présentés côte à côte au Metropolitan Museum of Art de New York.

Ce tableau , réalisé entre 1470 et 1472, montre une légère disproportion entre la taille du corps et celle de la tête, une caractéristique récurrente dans les portraits nordiques de cette période.

Le dessin préparatoire de sa copie est exécuté à la tempera, en terre d’ombre et noir d’ivoire sur un châssis entoilé de lin extra fin 41 x 33. L’ensemble du tableau sera réalisé sans solvant, à l’huile de noix, l’une raffinée, l’autre épaissie au soleil. Lire la suite de cet article >

Allégorie des vanités du monde

Vous pourrez suivre dans cet article l’évolution de la copie de l’ Allégorie des vanités du monde de Pieter Boel, peinture du 17e siècle des collections du Palais des Beaux-Arts de Lille.

Le contenu audio que vous trouverez sur le site du musée vous permettra de découvrir le sens allégorique de cette éblouissante œuvre baroque :
https://pba.lille.fr/Collections/Chefs-d-OEuvre/Peintures-XVI-sup-e-sup-XXI-sup-e-sup-siecles/Allegorie-des-vanites-du-monde

Son dessin préparatoire est exécuté en terre d’ombre sur un châssis entoilé de lin grain moyen serré de qualité professionnelle. L’ensemble du tableau sera réalisé à l’huile de noix cuite.

La copie mesure 80 x 100 cm, l’œuvre originale 207,5 × 260 cm, dimensions assez rares pour une vanité.