Cet article vous propose de suivre l’évolution de la copie de « La Descente de Croix » de Rubens, réalisée au Palais des Beaux-Arts de Lille devant l’oeuvre originale.
Le dessin préparatoire au fusain est repris en jus de noir de vigne au pinceau très fin. Le tableau sera exécuté avec le gel thixotropique qu’utilisait Rubens entre autres choses, médium composé à parts égales d’huile noire et de résine mastic, qui lui permettait des superpositions dans le frais, sans attendre les délais habituels de durcissement entre deux couches picturales.
Si vous êtes de passage au musée un vendredi, vous pourrez y rencontrer le copiste au travail.































































