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La Dentellière

mardi 7 décembre 2021

Catherine Courdil-Bouthinon vous propose de suivre dans cet article l’évolution de la copie du tableau de Johannes Vermeer « La Dentellière », exécutée sur une toile de lin marouflée sur panneau de chêne massif.

Si vous êtes de passage au Palais des Beaux-Arts de Lille un samedi, vous pourrez rencontrer le peintre devant la copie qu’elle termine actuellement,  Sainte Marie Madeleine en extase d’après Rubens.

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Sainte Marie Madeleine en extase

mardi 21 septembre 2021

Cet article vous propose de suivre l’évolution d’une autre copie de Rubens, « Sainte Marie-Madeleine en extase », en cours de réalisation au Palais des Beaux-Arts de Lille.

Le tableau est exécuté dans la technique mixte alternée qu’utilisait Rubens,  qui consiste à superposer sur une couche grasse d’huile et de résine encore fraiche une couche maigre à l’émulsion. Cette technique complexe qui rapproche deux contraires et rend l’huile plus maigre et la tempera plus grasse, est exposée dans l’extraordinaire livre de Patrice de Pracontal « Lumière, matière et pigment ».

Si vous êtes de passage au Palais des Beaux-Arts de Lille le samedi, vous pourrez y rencontrer la copiste au travail devant l’oeuvre originale.

 

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Troisième Art au Palais des Beaux-Arts de Lille

vendredi 9 juillet 2021

Catherine Courdil-Bouthinon est de retour au Palais des Beaux-Arts de Lille tous les samedis à partir du 10 juillet prochain, au premier étage du musée, où elle reprend sa copie de « Marie-Madeleine en extase » de Rubens, devant l’original.
Si vous êtes de passage au musée, n’hésitez pas à venir voir son travail, elle sera heureuse d’échanger avec vous sur son métier.

Jeune Fille au portrait

samedi 27 mars 2021

Vous pourrez suivre dans ce nouvel article l’évolution de la copie de la « Jeune fille au portrait » du peintre Claude-Marie Dubufe.

Ce dessin préparatoire a été exécuté au crayon aquarellable, puis repris en terre de Cassel diluée  à l’essence de térébenthine rectifiée. Bien que du XIXe siècle,  le tableau sera exécuté dans la technique mixte alternée des XVe, XVIe et XVIIe siècles,  très supérieure à toutes les techniques des siècles suivants, qui offre au peintre à elle seule tous les moyens d’expression possibles, de l’opacité à la transparence, de la matité à la brillance, de la finesse à l’empâtement, avec un raccourcissement très intéressant du procédé grâce à la présence de l’émulsion dans l’huile.

L’oeuvre originale, visible au Musée des Arts Décoratifs,  a récemment fait partie de l’exposition « Paris Romantique » au Petit Palais.

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