La Dentellière

Catherine Courdil-Bouthinon vous propose de suivre dans cet article l’évolution de la copie du tableau de Johannes Vermeer « La Dentellière », exécutée sur une toile de lin marouflée sur panneau de chêne massif.

Si vous êtes de passage au Palais des Beaux-Arts de Lille un samedi, vous pourrez rencontrer le peintre devant la copie qu’elle termine actuellement,  Sainte Marie Madeleine en extase d’après Rubens.

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Sainte Marie Madeleine en extase

Cet article vous propose de suivre l’évolution d’une autre copie de Rubens, « Sainte Marie-Madeleine en extase », en cours de réalisation au Palais des Beaux-Arts de Lille.

Le tableau est exécuté dans la technique mixte alternée qu’utilisait Rubens,  qui consiste à superposer sur une couche grasse d’huile et de résine encore fraiche une couche maigre à l’émulsion. Cette technique complexe qui rapproche deux contraires et rend l’huile plus maigre et la tempera plus grasse, est exposée dans l’extraordinaire livre de Patrice de Pracontal « Lumière, matière et pigment ».

Si vous êtes de passage au Palais des Beaux-Arts de Lille le samedi, vous pourrez y rencontrer la copiste au travail devant l’oeuvre originale.

 

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Troisième Art au Palais des Beaux-Arts de Lille

Catherine Courdil-Bouthinon est de retour au Palais des Beaux-Arts de Lille tous les samedis à partir du 10 juillet prochain, au premier étage du musée, où elle reprend sa copie de « Marie-Madeleine en extase » de Rubens, devant l’original.
Si vous êtes de passage au musée, n’hésitez pas à venir voir son travail, elle sera heureuse d’échanger avec vous sur son métier.

Jeune Fille au portrait

Vous pourrez suivre dans ce nouvel article l’évolution de la copie de la « Jeune fille au portrait » du peintre Claude-Marie Dubufe.

Ce dessin préparatoire a été exécuté au crayon aquarellable, puis repris en terre de Cassel diluée  à l’essence de térébenthine rectifiée. Bien que du XIXe siècle,  le tableau sera exécuté dans la technique mixte alternée des XVe, XVIe et XVIIe siècles,  très supérieure à toutes les techniques des siècles suivants, qui offre au peintre à elle seule tous les moyens d’expression possibles, de l’opacité à la transparence, de la matité à la brillance, de la finesse à l’empâtement, avec un raccourcissement très intéressant du procédé grâce à la présence de l’émulsion dans l’huile.

L’oeuvre originale, visible au Musée des Arts Décoratifs,  a récemment fait partie de l’exposition « Paris Romantique » au Petit Palais.

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